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11/11/2014

Etats d'âme

Quand on a une petite place et qu'on est de passage, qu'on a le cul entre deux chaises, que peut-on faire face à la détresse de collègues qui ne peuvent pas travailler dans de bonnes conditions? Au fond de soi on est révolté car on se dit que dans quelques temps ce sera à notre tour d'assumer le même travail dans ces mêmes conditions si rien ne change.

Elles sont désespérées face au manque de matériel pour une bonne prise en charge des personnes qu'elles doivent veiller. Le sentiment aussi de ne pas être soutenues par certaines de leurs collègues qui s'en foutent. Et puis aussi, la désagréable impression de ne pas être écoutées par les cadres, que les grands pontes laissent traîner des situations sans prendre la bonne décision, et que tout est fait avec des "mesurettes". Personne ne se mouille, personne ne moufte, personne n'entend, personne ne voit.

Où sont les audacieux, les responsables? Comme dirait Alexandre Jardin, "mort aux gris"! Ils sont ennuyeux, brassent du vent et ne font pas avancer le schmilblick. J'aime les gens qui fabriquent de l'impossible, se hissent vers l'improbable, font bouger les lignes.

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Ont-ils peur? Pourquoi rampent-ils comme ça? Il serait temps qu'ils se mettent sur leurs deux jambes, qu'ils osent marcher. Je leur souhaite de rencontrer des Yodas qui sèmeront des petits graviers sur leur route.