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12/04/2015

Le cabas de mes rêves

Vous savez quoi? Hier je suis allée voir de plus près les cabas en raphia. J'ai pris ma décision vendredi soir, assez tard. Voire dans la nuit. Je me suis dit que c'était ma semaine de chance. Après avoir vu le beau rayon de soleil chez le primeur il y a huit jours, je l'ai croisé en voiture vendredi soir. J'avais une chance sur un million - si ce n'est pas sur un milliard - de le croiser où je l'ai croisé et surtout à l'heure où je l'ai croisé.

Cependant, contrairement à la semaine dernière, je suis allée en ville en début d'après-midi. Et je suis allée tout de suite chez le primeur pour voir les cabas, en jetant un œil à travers la vitre pour vérifier que le rayon de soleil n'y était pas. Personne ne lui ressemblant de près ou de loin à l'horizon. Je suis donc entrée dans la boutique pour regarder les cabas. Il y avait le choix. Et j'ai trouvé le cabas de mes rêves. Je n'ai pas fait de vieux os dans la boutique. Je suis allée chez le pâtissier situé à deux portes de là dont la vitrine me fait saliver. J'ai ensuite filé chez la marchande de chapeaux qui m'a confié une paire de gants en cuir à remettre à quelqu'un.

De là, je suis allée chez Zara puis aux Galeries Lafayette car je voulais voir ce qu'il y avait en pantalons chez Jodhpur. Je ne pensais pas du tout acheter quoi que ce soit et j'ai trouvé le jean de mes rêves: bleu, parfaitement ajusté. Puis, faire un crochet par le rayon parfumerie et mettre The Beat de Burberry sur un petit carton. L'emporter avec moi.

J'étais sur le point de repartir de la grosse ville quand j'ai finalement décidé d'aller jusqu'au Bovary boire un café. J'ai fait le tri dans mes SMS, j'en envoyé quelques uns. Puis, me souvenir que l'Armitière a déménagé dernièrement. Avoir envie de découvrir l'aménagement de la boutique. Flâner dans les rayons des livres de poche et choisir Le collier rouge de Jean-Christophe Rufin dont j'avais entendu beaucoup de bien. Ressortir de l'Armitière et au carrefour hésiter entre deux passages pour piétons. Me dire que je traverserai la rue principale un peu plus bas. Et là laisser passer une voiture, relever les yeux, mettre un pied sur le passage pour piétons et voir le beau rayon de soleil traverser à même pas trois mètres de moi, se dirigeant vers la rue où se trouve le primeur... Quand je vous disais que c'était ma semaine de chance? Ou alors le hasard fait très, très bien les choses!

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Commentaires

oh oui la chance vient souvent par vagues….
profite bien!!!!
xxx

Écrit par : paristemsplibre | 16/04/2015

J'espère qu'il y aura d'autres vagues de chance ou d'autres heureux hasards...

Écrit par : La plume et la page | 03/05/2015

Les commentaires sont fermés.