29/11/2014
Novembre, ce fut...
Tous les Saints qui s'accordent pour demander à Dieu du soleil et un ciel bleu le 1er novembre... / Voir le roman de Françoise Hardy L'amour fou traîner sur une tablette dans le couloir et le revoir quelques jours plus tard dans le lit d'un malade. On dirait que ce livre me fait de l'œil, non? / Travailler la nuit et dormir le jour / NFS: ok. Bilan lipidique: ok. Phadiatop négatif. Que demande le peuple? / Réserver un billet de train pour Paris en espérant qu'il n'y aura ni neige, ni grève à la SNCF à trois jours de Noël... / Patrick Sébastien qui fait la Fiesta à l'Olympia / L'impression de courir partout et pour tout / Des névralgies tenaces / Mettre de l'aneth dans ses plats, fermer les yeux, et se croire à 1600 kilomètres de chez soi / Se demander comment, dans un corridor de 2 mètres de large, un homme vous frôle alors qu'il a largement la place de passer sans vous toucher... L'attraction des corps? / Faire du tri dans les guirlandes et les boules / Ressortir de vieux puzzles (plus vieux que moi!) et s'amuser à reconstituer les cartes de l'Europe et de la France / Une folle envie de goûter le nouvel assortiment de rochers Ferrero
11/11/2014
Etats d'âme
Quand on a une petite place et qu'on est de passage, qu'on a le cul entre deux chaises, que peut-on faire face à la détresse de collègues qui ne peuvent pas travailler dans de bonnes conditions? Au fond de soi on est révolté car on se dit que dans quelques temps ce sera à notre tour d'assumer le même travail dans ces mêmes conditions si rien ne change.
Elles sont désespérées face au manque de matériel pour une bonne prise en charge des personnes qu'elles doivent veiller. Le sentiment aussi de ne pas être soutenues par certaines de leurs collègues qui s'en foutent. Et puis aussi, la désagréable impression de ne pas être écoutées par les cadres, que les grands pontes laissent traîner des situations sans prendre la bonne décision, et que tout est fait avec des "mesurettes". Personne ne se mouille, personne ne moufte, personne n'entend, personne ne voit.
Où sont les audacieux, les responsables? Comme dirait Alexandre Jardin, "mort aux gris"! Ils sont ennuyeux, brassent du vent et ne font pas avancer le schmilblick. J'aime les gens qui fabriquent de l'impossible, se hissent vers l'improbable, font bouger les lignes.
Ont-ils peur? Pourquoi rampent-ils comme ça? Il serait temps qu'ils se mettent sur leurs deux jambes, qu'ils osent marcher. Je leur souhaite de rencontrer des Yodas qui sèmeront des petits graviers sur leur route.
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31/10/2014
Octobre, ce fut...
Se parfumer au Soleil de Fragonard / Avoir des frissons en écoutant Mireille Mathieu chanter. Indémodable! / Des hauts et des bas / Les rhumatismes de A à Z / L'été au mois d'octobre / Des prises de sang encore et encore / Tremper des biscottes dans sa soupe / Des arbres coloriés de jaune et d'orangé
06/10/2014
Twitter est un super outil mais terriblement chronophage
J'ai tenu le "tweet" à distance pendant longtemps, me contentant d'utiliser Facebook, qui me convenait bien pour être en contact avec les amis qui sont loin ou pour retrouver ceux perdus de vue. Mais, côté actualités, je n'y trouvais pas mon compte. J'aime être au courant de ce qui se passe près de chez moi mais aussi dans le monde rapidement. Donc, je me suis inscrite sur Twitter cet été. C'est un formidable outil pour savoir ce qui se passe tout près de chez soi comme très loin. Cependant, Twitter est terriblement chronophage. Je pourrais passer des heures à lire des articles... alors que j'ai des tas de choses à faire!
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30/09/2014
Septembre, ce fut...
Le radiologue qui me rattrape dans le hall pour me dire que le cliché n'est pas bon. Il n'avait pas vu les strass sur mon t-shirt qui ont tout faussé. En m'apportant une chemise pour la deuxième radio il me dit: "C'est ça les fashion victim..." / Connaître enfin la chute de la blague du bon beau gros chien / Être charmée par l'accent de Mateo Renzi quand il parle français / Apercevoir en province un prof qui enseignait il y a quelques années l'histoire de la Russie aux Langues'O. (Et me dire que le temps n'a pas de prise sur lui...) / Bosser quinze jours non-stop, être fatiguée et choper le rhume. Check! / Etre lassée par les hommes et femmes politiques et, plus largement, par la politique.
31/08/2014
Août, ce fut...
Se demander pourquoi les belles histoires c'est uniquement dans les films / Un macaron vanille-fraise qui m'a rappelé les glaces à l'italienne / Le doux parfum des pêches / Croire voir quelqu'un de connu au Printemps. Enfin de profil. Sans aucun doute un sosie / Des vendeurs qui attendent désespérément des clients / Un joli vase fabriqué par un artisan intronisé par un maître verrier de Murano / Robin Williams qui s'en est allé rejoindre le cercle des poètes disparus / Ecrire, écrire, et écrire encore. Passer ses journées avec Jan, Stanislas et Cécilia / Le pape François accueilli comme une super star en Corée. Cela faisait 25 ans qu'un pape n'avait pas mis les pieds là-bas / Regarder des albums photos et retrouver un cliché de juillet 2000 prise lors du 14 juillet sur les Champs Elysées. Jacques Chirac, juché sur une Jeep, salue la foule / Revoir avec plaisir Ginette Reno. Vive l'été indien! / Les baskets trempées et le jean mouillé jusqu'au genou parce qu'on a envie de prendre l'air envers et contre tout
07/08/2014
Du plaisir de flâner en librairie au mois d'août
Quel bonheur de flâner dans les librairies au mois d'août. Personne, ou si peu. Juste des passionnés qui hantent les allées, se déplaçant dans un souffle à la manière de fantômes. Et puis les vendeuses ne sont pas stressées. Elles sont même souriantes quand on leur demande si elles ont le livre d'Antoine Paje qu'on ne trouve pas dans le rayonnage.
C'est bien plus agréable que de devoir trouver un coin de sable pas encore occupé. On a le temps de s'arrêter devant les tables où reposent des dizaines d'ouvrages, de les feuilleter à loisir sans qu'un malotrus vous bouscule.
Partie dans l'idée d'acheter Et il me parla de cerisiers, de poussières et d'une montagne... d'Antoine Paje, je suis ressortie avec trois ouvrages. Enfin, le troisième était offert pour l'achat de deux poches. C'est ce que m'a dit la caissière m'indiquant de choisir dans le bac placé au bout du comptoir. Je ne me suis pas fait prier. Donc, en plus du bouquin d'Antoine Paje, je suis repartie avec Le pont des anges de Philippe Le Guillou (dont j'avais beaucoup aimé Le bateau brume), et Les cœurs fêlés de Gayle Forman que j'ai choisi dans le bac.
Vous me croirez si vous voulez, j'ai commencé celui choisi dans le bac avant les deux autres. Installée dans un Café et ayant un peu de temps devant moi, j'ai bien lu une bonne quarantaine de pages. Il faut dire qu'avec le fond musical, j'ai commencé celui dont j'avais le moins envie et que je jugeais moins sérieux. Mais j'ai accroché à l'histoire. Moi qui d'ordinaire n'est pas fan des bouquins pour ados (j'ai largement passé l'âge!) et bien j'ai été agréablement surprise.
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