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30/09/2017

Septembre en quelques mots #12

Une fâcheuse tendance à brûler les ponts derrière moi // Mon sixième sens... // Et vive les pinces de Magill! // Everybody got their reason, Everybody got their way, We're just catching and releasing What builds up throughout the day... // Faire des tas de conjectures // Ne plus jamais appuyer sur le bouton pour demander l'arrêt quand le bus arrive au terminus... Sourire. Se rappeler un joli sourire... Précieux! // La fatigue me rend vite exécrable. Je crois que je pourrais même me transformer en pittbull... // Un nouveau calendrier avec des photos perso // Acheter le sac PPMC au joli motif fleuri repéré lors de l'ouverture du magasin // Pas de CR d'hospit, une ordo merdique... // Il y a des jours où il ne faudrait pas sortir de chez soi // Celui qui dit que je ne suis pas organisée je lui mets une droite! // Mettre la voiture en pilote automatique... // Entrer dans une chambre et entendre à la radio: You are so beautiful to me, Can't you seeeeee? You're everything I hoped for, You're everything I need... // Ne pas mettre le réveil sonner pour vraiment se reposer // Et encore un écureuil // Rat desséché sur tapette // Détester les faux plis // A quoi bon... Pas envie d'être déçue // Préparer la valise...

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30/06/2017

Juin en quelques mots #9

Le retour de Thomas Pesquet sur Terre avec des milliers d'étoiles dans les yeux // "Elle danse, Marie, elle danse. Elle adore quand ça balance..." // Le derrière blanc d'un lapin qui file à toute allure vers le haut de la prairie // Sunset au bord de la falaise // Une hirondelle se baignant dans une flaque // L'au-revoir de David Pujadas au 20h. Souhaitons-lui plein de belles aventures pour ces prochaines semaines, ces prochains mois // La course du ferry rejoignant DP à la tombée du jour // Une glace à l'italienne parfum spéculoos. Une tuerie! // Marc Lévy en déplacement pour la promo de La dernière des Stanfield. Un auteur espiègle et facétieux // Ah! écrire... Le bonheur! // Choisir une maison d'éditions... Pire qu'un casse-tête chinois! // Courir. Vite. Pour attraper le bus // Tourner la tête quand un gnou se fait attraper par un crocodile // Me battre contre un frelon à coups de bombe Raid // Des températures assommantes. Une voiture transformée en sauna et se sentir fondre... // Destination Provence // Corinne Touzet aperçue à la terrasse d'un restaurant // Ma voisine de derrière dans le TGV: "Les trois becs. Là c'est les trois becs. L'extrême bout du Vercors." // Le quotidien qui reprend ses droits... et qui laisse peu de place à la fantaisie, la paresse, et la contemplation

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09/06/2017

Les romans ont-ils du pouvoir?

Je naviguais sur Instagram il y a quelques jours et j'ai découvert sur un compte la Une du 1Hebdo. Y figurait le Bibliothécaire, portrait anthropomorphe d'Arcimboldo, avec un titre pour le moins insolite: Les romans ont-ils du pouvoir? La question m'a interpellée. Est-ce qu'un livre, qui plus est un roman, peut avoir un impact sur le cours des choses, et plus largement, peut changer le cours du monde? Curieuse de savoir comment le sujet avait été traité, je me suis empressée d'acheter le journal.

Les regards croisés de plusieurs auteurs sont proposés. Ainsi, Kamel Daoud explique que selon lui le roman peut avoir un impact que l'on vive en démocratie ou dans une dictature. Il peut changer un esprit en bien ou en mal. Un roman peut être à double tranchant.

Boualem Sansal est lui aussi dans la nuance, jugeant la littérature à la fois inutile et essentielle, dans le sens où elle ne peut rien (et qu'on gaspille des arbres pour imprimer des livres) mais en mettant en avant la centaine de livres qui a transfiguré le monde comme les textes religieux, les grands textes politiques ou linguistiques, et les grands auteurs tels Dostoïevski, Shakespeare, ou encore Dante. Il se désole par ailleurs de l'état de la littérature contemporaine qui, selon lui, dure (pour les meilleurs romans) une saison mais ne propose pas de réels chefs-d'oeuvre.

Un autre regard intéressant est celui de Michel Houellebecq, rapporté par la journaliste Aude Ancelin. Pour l'auteur de Soumission le "roman est toujours ambigu". D'après lui, si l'auteur est bon, "il est d'accord avec tous ses personnages, il plonge dans une espèce de relativisme généralisé". Houellebecq considère qu'un roman ne peut pas changer le monde contrairement à "des propos idéologiques purs, sans personnages, ni complications de ce genre".

Après lecture de presque la totalité des articles je constate que la question est loin d'être tranchée. Mais, comme Carole Martinez (auteure de trois romans dont l'excellent Du domaine des murmures paru chez Gallimard), j'aurais tendance à penser que le roman n'impose rien. Il nous permet simplement d'explorer des possibles, de vivre d'autres vies, d'éprouver une multitude de sentiments, d'émotions et de sensations. C'est par ailleurs un regard sur notre monde, sur la société à un moment T. Il consigne les évolutions de notre temps. Le roman, quoi qu'on en dise, permet de s'ouvrir à l'autre, de réfléchir. Et imperceptiblement, il nous influence. Pas au point de changer le cours du monde, j'en conviens. Mais tout de même. Plutôt que de dire que les romans ont du pouvoir je dirais plutôt qu'ils ont un certain pouvoir.

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17/07/2016

Relever la tête

Le 14 juillet fut une fête, une très belle fête avec défilé des troupes sur les Champs Elysées, un magnifique concert de musique classique retransmis du Champ de Mars et un merveilleux feu d'artifice embrasant la Tour Eiffel. Une très belle fête jusqu'à ce que je voie sur Twitter des messages indiquant aux Niçois de rester cloîtrés chez eux et évoquant un attentat.

J'ai zappé sur les chaînes d'infos en continu pour en savoir plus. Certains parlaient d'une trentaine de morts, d'autres d'une cinquantaine. J'essayais de comprendre ce qui se passait. On ne savait pas bien si l'attentat était terminé ou si les forces de l'ordre étaient toujours à l'œuvre pour arrêter le ou les attaquants. Quelques images montraient par ailleurs des scènes de panique, la foule courant, puis des ambulances stationnées au beau milieu de la Promenade des Anglais. J'ai attendu plus d'infos fiables mais les journalistes semblaient dépassés par les événements. Les correspondants sur place n'avaient pas plus d'infos à donner. J'ai éteint la télé et suis allée me coucher avec un goût amer dans la bouche.

Lorsque je me suis levée vendredi matin le bilan était de 84 morts et faisait état de très nombreux blessés. On m'aurait donné une gifle je pense que la sensation aurait été la même. J'étais sonnée et me demandais quand ces agissements allaient-ils enfin cesser? Et puis un sentiment de colère est monté en moi. De la colère contre cet illuminé, contre les politiques, contre Dieu. J'avais la gorge nouée et des larmes ont dévalé mes joues. J'étais en colère et impuissante.

Puis, je me suis dit que la meilleure réponse que l'on pouvait donner à ceux qui voudraient nous mettre à genoux, nous faire courber l'échine, c'était de relever la tête et de continuer à vivre, de profiter de la vie et des gens qu'on aime, de sortir s'amuser, de faire la fête. Dire à nos proches qu'on tient à eux, ne pas se fâcher pour des broutilles parce que c'est une perte de temps inutile. Vivre envers et contre tout. 

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21/02/2015

I'll never forget!

Ten years ago...

11/01/2015

Les dimanches en photo (61)

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27/05/2013

Ian Hamel au Club de la Presse

livres,essais,ian hamel,andré bettencourt,l'oréal,médias,presse,actu,actualitéIan Hamel, journaliste de l'hebdomadaire Le Point, et de l'Agefi, quotidien de l'Agence économique et financière à Genève, était au CPHN il y a quelques jours pour présenter son essai sur les derniers secrets de la famille Bettencourt. Il revient notamment sur le passé d'Eugène Schueller et d'André Bettencourt, dévoilant quelques secrets bien gardés sur leur compte. Un retour en arrière qui permet par ailleurs de mieux comprendre le défilé d'hommes politiques de gauche et de droite à Neuilly pour récupérer quelques "subsides"... Ils seraient nombreux à avoir croqué un morceau du gâteau, même si, au dire de Ian Hamel, il est difficile de le prouver. Outre les événements politiques, il revient sur le conflit qui a opposé Liliane Bettencourt à sa fille Françoise.

Les Bettencourt derniers secrets - Ian HAMEL - Ed. de l'Archipel - 2013 

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Ian Hamel