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24/03/2013

Salon du Livre de Paris #1

Cela faisait plusieurs années que je n'y avais pas mis les pieds et je ne me rappelais pas qu'il y avait autant de monde au Salon du Livre de Paris. J'y suis allée samedi car c'est le jour où il y a le plus de dédicaces et je voulais voir des écrivains que je n'avais jamais vus ainsi que des personnalités. Et bien je ne fus pas déçue. Je suis rentrée claquée mais super contente de ma journée.

Parmi les auteurs connus et reconnus, il y avait bien sûr Marc Levy, qui est passé à quelques mètres de moi pour aller s'acheter un sandwich (et oui, pour ceux qui en douteraient, les écrivains mangent...). Il est très grand et très simple, comme lorsqu'il passe sur un plateau télé. Mais je n'ai pas fait trois heures de queue pour une dédicace de son dernier livre... Je suis à peu près certaine qu'il a dû enchaîner des signatures pendant au moins quatre heures. C'était quasiment l'émeute devant le stand Robert Laffont! J'ai réussi à me faufiler pour prendre une photo mais c'était du sport et il faisait très très chaud sous les spots...

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En revanche on ne peut pas dire qu'Amélie Nothomb fasse dans la simplicité. Elle est arrivée coiffée d'un chapeau noir comme elle seule en porte. Puis, sachant qu'elle aime le champagne, un sbire de chez Albin Michel s'est amené avec une flûte et une bouteille de bulles pour étancher la soif de l'auteure pendant la séance de dédicaces. Autant vous dire que je n'aurais pas attendu pour une signature, encore moins que pour Marc Levy.

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Tatiana de Rosnay avait l'air d'être très avenante avec les lecteurs qui se pressaient devant le stand des éditions Héloïse d'Ormesson. J'ai juste pris un marque-page vantant son dernier ouvrage intitulé A l'encre russe.  

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Jean-Michel Guenassia était arrivé un peu avant Amélie Nothomb pour dédicacer ses ouvrages.

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Delphine de Vigan très concentrée sur le stand du Livre de Poche.

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Christine Angot dédicaçait Une semaine de vacances chez Flammarion. 

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Michel Quint dédicaçait En dépit des étoiles chez Héloïse d'Ormesson.

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J'ai dit tout le bien que je pensais de Peste & choléra de Patrick Deville à une dame qui attendait pour une dédicace. Quand on a aimé un livre il ne faut pas hésiter à le dire.

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Brigitte Kernel dédicaçait Andy chez Plon.

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Jean Teulé était là pour Fleur de tonnerre paru chez Julliard.

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Et puis j'ai vu plein d'autres auteurs que je n'ai pas pris en photo: Timothée de Fombelle, Douglas Kennedy, Michel Bussi, Jean d'Aillon, Philippe Delerm, Janine Boissard, Jacques Salomé, Erik Larson, Patrick Rambaud...

Dans l'épisode #2 du Salon du Livre je vous parlerai des personnalités et des animateurs que j'y ai vus et dans l'épisode #3 je vous présenterai les deux livres dédicacés que j'ai ramenés. A très bientôt!

21/03/2013

Jappeloup

imagesCA825SYR.jpgUn film magnifique avec des acteurs épatants! Ce long-métrage sur l'histoire de Pierre Durand et de son fameux cheval Jappeloup est une merveille. Même si c'est une adaptation libre, le film retrace le parcours de ce cavalier hors du commun et de son cheval extraordinaire.

Pierre Durand (Guillaume Canet) monte à cheval depuis qu'il est gamin et participe à différentes compétitions. Il participe à de nombreux concours et fait quelques chutes. Les années passent et il remporte quelques victoires avec son cheval Laudanum.

Mais c'est une vie difficile et Pierre décide de se consacrer à ses études de droit qu'il poursuit à Bordeaux. Lorsqu'il revient un week-end son père est sur le point d'acheter un cheval répondant au nom de Jappeloup. Or, l'animal ne plaît pas du tout à Pierre et la transaction ne se fait pas.

Bien qu'il ait complètement arrêté les compétitions, Pierre n'en fréquente pas moins celles-ci et c'est par un curieux hasard qu'il retrouve quelques mois plus tard une de ses anciennes petites amies (Marina Hands) juchée sur Jappeloup, un cheval qui a encore des progrès à faire mais qui a une sacrée détente sur les parcours d'obstacles.

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Finalement Pierre et son père (Daniel Auteuil) se décident à acheter l'animal mais les résultats vont être irréguliers. Est-ce le cheval qui est capricieux ou le cavalier qui ne sait pas y faire? Les JO de Los Angeles se terminent par un cuisant échec. Pierre fait perdre son équipe à cause d'une terrible chute. La cavalier est humilié et décide de vendre Jappeloup. Mais ce n'est pas la fin de l'histoire! Le cheval, porteur d'une maladie, va finalement rester chez Pierre...

Il est beaucoup question de cheval dans ce film mais c'est avant tout une histoire d'hommes et de femmes avec leurs passions, leurs peurs et leurs doutes. Le scénario met aussi en évidence la remise en question de soi et la confiance en ses capacités. Outre les images superbes que nous offre Christian Duguay, réalisateur québécois qui mérite à être connu, les acteurs sont vraiment très très bons. Si vous ne l'avez pas encore vu, courrez voir Jappeloup! Vous passerez un superbe moment.

Jappeloup - Christian DUGUAY - Avec Guillaume Canet, Marina Hands, Daniel Auteuil, Marie Bunel, Lou de Laâge, Jacques Higelin...

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17/03/2013

Les dimanches poétiques (97)

"Si tu ne viens pas à Lagardère, Lagardère ira à toi!"

Paul FEVAL Le Bossu

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16/03/2013

Nous étions faits pour être heureux - V. OLMI

livres,littérature,véronique olmi,amour,bonheur,actu,actualitéUn livre qui remue un peu à la fin. Un conseil: évitez de le terminer quand vous êtes malade. Les derniers chapitres pourraient vous tirer des larmes et vous donner mal au coeur.

Le livre s'ouvre sur la vie d'un couple qui a tout pour être heureux. Serge, soixantenaire, a une jeune et jolie femme prénommée Lucie. Ils ont deux magnifiques enfants. Lui est agent immobilier et gagne très bien sa vie. Elle, elle reste à la maison et prend soin avec entrain de leur progéniture. La vie de la famille est réglée comme du papier à musique. Alors, quand Suzanne vient accorder le piano du fiston dans leur maison située à Montmartre, Serge ne la remarque pas.

Mais il suffit parfois de peu de choses pour qu'une vie se désaccorde... Un soir de fête où il entre dans un bar avec sa femme, Serge revoit Suzanne. Pourquoi va-t-il chercher à la revoir? Elle n'est pas jeune, pas belle, et apparemment ordinaire. Et pourquoi va-t-il éprouver le besoin de lui confier une histoire d'enfance qu'il avait enfouie au plus profond de lui? Qu'a-t-elle de plus qu'une autre pour qu'il se confie à elle?

Il y a parfois des passions et des pulsions qu'il est vain de tenter d'expliquer mais qui doivent être vécues même si ça fiche son petit monde en l'air. C'est ce que va faire Serge. C'est ce que va faire Suzanne. Mais ni l'un, ni l'autre ne sortira indemne de cette histoire d'amour... même si pour Suzanne celle-ci sera finalement bénéfique.  

Nous étions faits pour être heureux - Véronique OLMI - Ed. Albin Michel - 2012

13/03/2013

Let it snow, let it snow...

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Monday at 6:20 pm

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Today is another day...

12/03/2013

Un bien précieux qui ne nous appartient pas

"Beaucoup se souviennent que Wojtyla "était toujours à tout calculer, à tout planifier". Silkowski raconte qu'il participait aux tournois interclasses de football, mais qu' "il n'en faisait pas une obession, comme beaucoup d'entre nous: il nous expliquait qu'il était dommage de perdre du temps à des futilités."

Gérer son temps. Ne jamais perdre un moment. Faire plusieurs choses à la fois, déjà: aller se promener, mais avec un livre dans la poche. Se lever aux aurores chaque jour, même en vacances. Se réserver une heure pour ceci, une heure pour cela - y compris pour la prière, la méditation, le repos ou les distractions. Le cardinal Wojtyla et, plus tard, le pape Jean-Paul II auront ainsi le souci d'utiliser au mieux le temps qui passe, comme un bien précieux qui ne vous appartient pas, comme un don de Dieu qu'il revient à l'homme de ne pas gaspiller."

Bernard LECOMTE Jean-Paul II (p. 34-35)

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10/03/2013

Les dimanches poétiques (96)

"Pendant quelques secondes, ils furent unis dans un accord parfait. Un éblouissement, un flash, un instinct de vie. Mesurant le chemin et les risques pris pour arriver jusqu'à l'autre, ils étaient bien obligés d'admettre qu'ils étaient des "twin souls": des âmes jumelles qui s'étaient reconnues et qui avaient cheminé pour parvenir à la même destination. A présent, il y avait entre eux comme une évidence, un élan, une alchimie. Un sentiment primitif qui remontait aux peurs et aux espoirs de l'enfance. La certitude vertigineuse d'être enfin face à la personne capable de combler leur vide, de faire taire leurs peurs et de guérir les blessures du passé."

Guillaume MUSSO L'appel de l'ange

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