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26/01/2015

Je lis donc je suis

Voici un tag qui tourne en ce moment sur la blogosphère. Il s'agit de répondre aux questions avec des titres de livres qu'on a lu. Je relève le défi.

Décris-toi

Raison et sentiments

 

Comment te sens-tu?

Un léopard sur le garrot

 

Décris où tu vis actuellement

L'île des beaux lendemains

 

Si tu pouvais aller où tu veux, où irais-tu?

84, Charing Cross Road

 

Ton moyen de transport préféré?

Le bateau Brume

 

Ton/Ta meilleur(e) ami(e) est...

Le confident

 

Toi et tes amis vous êtes...

Sur le bord de l'inaperçu

 

Comment est le temps?

Il avait plu tout le dimanche

 

Quel est ton moment préféré de la journée?

Le rêve

 

Qu'est-la vie pour toi?

Conte de fée à l'usage des moyennes personnes

 

Ta peur?

Une trahison amoureuse

 

Quel est le conseil que tu as à donner?

Précautions d'usage

 

La pensée du jour?

Vous revoir

 

Comment aimerais-tu mourir?

Une mort très douce

 

Les conditions actuelles de ton âme?

La Déesse des petites victoires

 

Ton rêve?

S'abandonner à vivre

 

25/01/2015

Les dimanches poétiques (148)

"-Non, je dis qu'on raisonne aussi bien avec ses émotions qu'avec ses idées. Je crois même, ma poulette, qu'on est malheureux quand on pense trop. Le cœur doit marcher avant le cerveau, le corps lui obéit, et la tête fait ce qu'elle peut..."

Alexandre JARDIN Juste une fois

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13/01/2015

Un matin gris qui se transforme en jolie journée

Ce matin quand je suis partie le ciel était gris. Les présentateurs météo ne s'étaient pas trompés. Le mauvais temps était là. Le vent battait la ville. Dans la matinée il s'est même mis à pleuvoir. Mais la journée réserve bien des surprises.

Il y eut d'abord une petite éclaircie vers 9h50. Un premier rayon de soleil trop parfumé mais qui sentait sacrément bon (et moi qui me trimbale un sourire béat depuis ce moment-là).

Puis, à 12h, décider de rentrer manger plutôt que de me retrouver toute seule au self. Eviter ainsi de trop stresser pour une mise en situation que je devais effectuer en début d'après-midi.

A 13h50, le soleil qui fait son apparition, comme s'il avait décidé de me donner un coup de pouce, de me réchauffer, de me donner des forces.

Repartir à 14h10 sous le soleil. Avoir envie d'un nouveau stylo Pilot Frixion, le mien ayant rendu l'âme il y a quelques semaines. Aller dans une librairie pour le stylo et tomber sur le dernier livre de Jean-Philippe Blondel Un hiver à Paris. Ressortir avec le dit livre qui promet de belles heures de lecture.

Enfin, rentrer chez soi et découvrir qu'une de mes photos est sur la 4ème de couverture de la rétrospective que ma jolie Commune édite tous les ans pour distribuer aux habitants. Me dire que beaucoup de gens vont penser à moi.

Et à l'heure où j'écris ces lignes il y a encore un beau rayon de soleil.

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23/11/2014

Les dimanches en photo (60)

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Le risque, quand je vais flâner dans une librairie, c'est que je reparte avec des livres. Les derniers à avoir rejoint ma PAL. Pas raisonnable. Mais alors pas du tout raisonnable!

17/11/2014

Regard complice

La neige commençait à nacrer les rues de Rome et la matinée s'annonçait glissante. Marcella décida donc de prendre le bus pour se rendre au travail. Bonnet bien enfoncé sur la tête et emmitouflée dans un long manteau noir elle marcha d'un pas rapide pour rejoindre l'arrêt. Le vent, ce grand nomade, traversait la ville à une allure effrayante et fouettait sans ménagement le visage des passants. Marcella avait les joues rougies et avait hâte de monter dans le bus qui l'emmènerait jusqu'au consulat. Ce temps était inhabituel à Rome pour un mois de novembre. 

******

Marcella avait eu du mal à quitter son lit, drap et couverture remontés jusqu'aux yeux. Tiberio, levé avant elle, avait essayé de la découvrir doucement mais elle avait froid et s'était dépêchée de remonter le tout sur ses épaules. Son regard, plein des secrets de la nuit et de connivence, avait incité Tiberio à se recoucher. Ils étaient toujours prêts pour quelques folies, quelques bêtises d'amoureux. Deux vrais larrons, prêts pour le meilleur et le pire. Et au lit ils ne s'ennuyaient pas. Ils s'étaient levés avec des yeux brillants d'amants, un peu en retard mais ravis d'être restés plus longtemps que d'habitude ensemble avant d'aller travailler.

Ce soir Marcellla en aurait des choses à relater à son confident qu'elle rangeait dans le tiroir de sa table de nuit. Des choses qu'elle ne pouvait ni ne voulait partager avec personne si ce n'est son carnet. Elle avait quelques amis proches dont faisait désormais partie le professeur Berghetti mais elle ne leur parlait jamais de ses affaires intimes. Elle aurait préféré se laisser couper la main plutôt que de leur révéler ce qui se tramait dans son cœur.

Tiberio en savait bien sûr plus que les autres mais ne savait pourtant pas tout. Pendant un temps il avait considéré Berghetti comme un rival mais il avait appris à le connaître et ils étaient maintenant amis. Il avait même de l'empathie pour le professeur qui faisait toujours l'objet d'attaques.

Texte original rédigé pour l'édition n°35 des Plumes d'Asphodèle dont le thème était la complicité. Il n'est pas libre de droits, la photo non plus.

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16/11/2014

Les dimanches poétiques (144)

"La vraie peur est une bonne chose, elle permet d'apprécier le danger et de réagir vite. Mais elle est rare. La fausse peur, la plus commune, cette peur qu'on se fabrique pour des raisons stupides, te tue. Tu vis mais tu es mort, terrorisé dans ta tête. Elle t'empêche de réagir correctement, elle te fait faire des tas de conneries ou t'empêche de faire ce qui compte. En plus, elle te transforme en cible, une victime avant l'heure. Un mec qui a peur, et ça vaut aussi pour les nanas, ça se voit, ça se renifle et ça donne envie aux tordus, qui ne s'attaqueraient jamais à plus fort qu'eux. Ils te sautent à la gorge, juste pour prouver qu'ils te dominent."

Antoine PAJE Et il me parla de cerisiers, de poussières et d'une montagne...

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09/11/2014

Les dimanches poétiques (143)

"Respecter une femme, c'est pouvoir envisager l'amitié avec elle; ce qui n'exclut pas le jeu de la séduction, et même, dans certains cas, le désir et l'amour."

Tahar BEN JELLOUN

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